Les Lettres DUne Libertine LAirbus A330 (2/2)
Nous montions la rampe daccès, venant confirmer que nous montions à bord dun avion.
Incroyable, nous allions faire un vol coquin et jen étais très excitée par avance, concrétisant un vieux fantasme féminin.
La suite vint interrompre cet excès dimagination. Mon bandeau fut retiré et je découvris le commandant de bord en tenue et un steward également dans sa tenue réglementaire. Le très beau black et son personnel naviguant minvitèrent à passer dans le cockpit pour y savourer une coupe de champagne. Le commandant-pilote se remis entre mes jambes et je compris à qui je devais lorgasme tout aussi puissant que le précédent grâce à la même méthode barbare. Jétais aux anges et des ondes de chaleur parcouraient mon bas-ventre.
Je libérais le sexe long, peu esthétique et non circoncit de mon steward et je mappliquais à une généreuse fellation. La demi molle se transforma en une belle tige bien dure et une fois le gland décalotté elle avait bien meilleure allure. Le commandant martyrisait mes tétons cette fois. Comme pour le clitoris, la sensation fut franchement douloureuse que jen lâchais le sexe pour maitriser les doigts qui roulaient mes bouts comme on se roule une cigarette. Mais il reprit son action dès que je me concentrais, à nouveau, sur la fellation gourmande.
Nouvelle intervention de ma part. Mais chassez le naturel, il revient au galop, si bien que je fini par me laisser faire ayant limpression quil assouplissait sa pression sur les chairs. Je ne sais pas doù cet orgasme est sorti. Pas de mon bas-ventre comme dhabitude. Je me suis entendu le motiver par des petits gémissements, lui indiquer que je montais et enfin exploser cérébralement dans un orgasme complètement inconnu. Je mouillais sans même mêtre touchée ou avoir été pénétrée, juste par les tétons.
Je fus relevée puis positionnée sur mes genoux sur le siège du capitaine, dégageant par la même mon postérieur et ma cambrure dancienne danseuse classique.
Le commandant fit quelques acrobaties et vient se placer au milieu de son tableau de bord, entièrement nu à lexception de sa casquette. Sa queue était longue, très longue mais mince ce qui me surpris pour un black. Il me la présenta devant le visage. Il sen servit comme une baguette pour me gifler la joue gauche, me fouetter les lèvres.
Il dominait sa chose. Jouvrais ma bouche et il vint la loger le plus loin possible en butée sur ma glotte.
Décidément, ce commandant était un barbare du sexe. Le lieu était original mais le prix en était un brin cher pour mes chairs ! je me forçais à en avaler le plus possible comme dans ce film x que javais regardé avec mon homme, un soir de grande faveur féminine. Jai bien dit faveur et non ferveur.
Le steward était toujours derrière et en moi. Il sactivait et finalement le coté brute de son collègue anéantissait les effets quil aurait pu moffrir. Jétais concentrée sur la maîtrise de la colonne de chair qui me forçait les amygdales et me donnait lair dune chamelle ruminante : je bavais !
Un grognement de bête derrière moi me rappela mon partenaire vaginal. Il sépanchait dans celui-ci et vu la chaleur que je ressentais sur les parois il devait y avoir une sacrée dose. Il se retira et prit son uniforme pour sortir de la cabine, le préservatif plein encore au bout de son pénis.
Mon homme me prit par la taille et me conduisit dans le carré des hôtesses, à larrière de lavion. Nous traversions, moi complètement nue, à lexception de mon porte-jarretelle et mes bas, les rangées de sièges passagers dans lallée centrale éclairée.
Le commandant me positionna sur la tête le béret de la compagnie, me fit asseoir sur le strapontin des hôtesses et me sangla en position que lon connait tous au moment de latterrissage.
Sans surprise, il joua du marteau-pilon dès le départ. Bien sanglée dans mon rôle dhôtesse de lair, je décidais de subir ce vol turbulent. Je fermais les yeux et mimaginais vraiment dans le rôle qui était le mien à cet instant, pour un bref rapport sexuel avec le pilote, moment volé à larrière de lavion au risque de se faire surprendre par une collègue ou un passager.
Cette situation fantasmagorique me fit monter sous les coups de butoir de mon amant du jour. Jécartais encore plus les cuisses, les tenant de mes deux mains et me cambrant au maximum pour allonger ma cavité vaginale. Il nen fallu pas plus pour me faire jouir une nouvelle fois, trempant les testicules de mon partenaires.
Ce fut pour lui le signal de se laisser aller. Il sortit soudainement son membre, en retira le préservatif et éjacula, en une dizaine de jets, sur mes seins. Le sperme ruisselait et il létala, de son gland, sur mes tétons avec un air de pilote satisfait de son atterrissage.
Après un brin de toilette rapide au poste déquipage, je repris mon apparence de jeune bourgeoise classe, dénudée, en lingerie sexy sous son manteau. En reprenant le couloir je maperçu que les hublots nétaient pas obturés, que lavion était éclairé dans un grand hangar.
A notre sortie, je découvris un deuxième avion situé à une quinzaine de mètres du notre, stationné à lintérieur dun hangar manifestement dédié à la maintenance.
Autour de ce second appareil une dizaine douvriers travaillaient dessus.
Lun deux se retourna en nous voyant descendre de la passerelle. Il leva sa main et mit son pouce dans une position qui ne pouvait tromper. Il mavait vu en pleine action cest sur ! Il arborait un sourire radieux quil dut remballer très rapidement devant la tête furieuse que lui faisait mon commandant de bord. Jétais transporté de plaisir davoir pu offrir à un autre homme un brin de plaisir cérébral.
Nous ressortîmes par la petite porte dacier après un dernier baiser à mon pilote. Son steward nétait, quand à lui, pas réapparu. Mon homme avait lui aussi ce petit sourire de fierté et je dois dire quil avait fait très fort cette fois ci.
Jai découvert, quelques jours après une sélection, des 350 clichés quil avait réalisé durant ce vol
au 7ème ciel !
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